ASSISTANCE PUBLIQUE - HOPITAUX DE PARIS.
Alors que la recense d'un précédent article célébrant les avancées médicales et l'aboutissement concrètes de plusieurs d'entre- elles courant 2010 est encore effervescente dans nos esprits,
Les mécaniques comptables de nos dirigeants, en totale dissonance avec les réalités et les exigences de la santé mettent en péril,nos espoirs de guérison et de prévention.
A la place d'une prise en charge mieux élaborée par un personnel suffisant et en perpétuelle acquisition de connaissances, l'on nous prévoit 1000 suppressions de postes par an dans un secteur dont la politique des ressources humaines se caractérise par une pénurie récurrente en personnel et des conditions de travail insoutenables, affectant par là même la qualité des soins.
Mais ce qu'il y a de plus contradictoire, et mérite par ailleurs, une attention particulière des hommes de médecine et de toute notre société, c'est "La présomption de troubles de la personnalité" qui menace nos dirigeants.
Sinon, comment comprendre qu'au moment où certaines de ses personnes lancent des slogans,du genre"Attention, Insécurité, Danger" tous azimuts, comme par une "absurdité compulsive schizophrénique", les mêmes prennent des dispositions diamétralement opposées?
Je m'explique;
- Les malades sont iminemment menacés de danger de mort,
-Les biens portants sont tous, fragiles et potentiellement malades.
Si ce n'est la "mal bouffe", les cigarettes, les rapports sexuels qui nous tuent, c'est la grippe A(H1N1) qui nous extermine.
Nous devons tellement faire attentions et éviter des "dangers" qu'on en arrive à croire que le fantasme pousuivi est de nous faire "mourir de bonne santé"!
Seulement, là où l'incompréhension et l'effarement nous donnent le tournis, qui nécessite tout de même des soins médicaux, c'est quand les mêmes prêtres de l'insécurité ambiante, occultent que cette situation , pour le moins, anxiogène, provoque un désir de sécurité...compulsif!
Donc, face à un tel changement psycho structurel, la médecine occupe plus que jamais et ceci de manière axyomatique une place centrale.
C'est à dire, que face à la fébrilité psychique résultant à la surenchère de la panique organisée, le personnel hospitalier, et tous les acteurs de la santé deviennent nos referents incontournables, pour nous guerir, nous prévenir, nous soutenir, nous orienter, et Dieu sais-je quoi encore d'autre, pour éviter tous ces dangers qui nous guettent inlassablement et ménacent notre vie.
Franchement, si on ne le comprend pas; il ya là matière à apprehension, pour nos dirigeants que nous aimons par ailleurs tant!
Plusieurs chantiers cruciaux comme le handicap, les maladies cardio vasculaires, les soins palliatifs, les affections virales de toute sorte, la psychiatrie, ont besoin d'un personnel , plus disponible, plus serein, plus aptes à toutes les formes de soutien et d'accompagnement prophylaxiques.
Oui!Oui,si le sort de nos malades, Mesdames, Messieurs, vous laissent indifferents, de grace, ne vous détournez pas de votre propre cas,dont les reccurentes contradictions, dans un élan de solidarité, nous inquiètent au plus niveau, sur votre état global de santé.
Au lieu de traumatiser nos soignants, au risque que cela se retourne contre nous tous, aidez les à mieux, nous accompagner et nous soutenir dans nos douleurs quotidiennes .
Les mécaniques comptables de nos dirigeants, en totale dissonance avec les réalités et les exigences de la santé mettent en péril,nos espoirs de guérison et de prévention.
A la place d'une prise en charge mieux élaborée par un personnel suffisant et en perpétuelle acquisition de connaissances, l'on nous prévoit 1000 suppressions de postes par an dans un secteur dont la politique des ressources humaines se caractérise par une pénurie récurrente en personnel et des conditions de travail insoutenables, affectant par là même la qualité des soins.
Mais ce qu'il y a de plus contradictoire, et mérite par ailleurs, une attention particulière des hommes de médecine et de toute notre société, c'est "La présomption de troubles de la personnalité" qui menace nos dirigeants.
Sinon, comment comprendre qu'au moment où certaines de ses personnes lancent des slogans,du genre"Attention, Insécurité, Danger" tous azimuts, comme par une "absurdité compulsive schizophrénique", les mêmes prennent des dispositions diamétralement opposées?
Je m'explique;
- Les malades sont iminemment menacés de danger de mort,
-Les biens portants sont tous, fragiles et potentiellement malades.
Si ce n'est la "mal bouffe", les cigarettes, les rapports sexuels qui nous tuent, c'est la grippe A(H1N1) qui nous extermine.
Nous devons tellement faire attentions et éviter des "dangers" qu'on en arrive à croire que le fantasme pousuivi est de nous faire "mourir de bonne santé"!
Seulement, là où l'incompréhension et l'effarement nous donnent le tournis, qui nécessite tout de même des soins médicaux, c'est quand les mêmes prêtres de l'insécurité ambiante, occultent que cette situation , pour le moins, anxiogène, provoque un désir de sécurité...compulsif!
Donc, face à un tel changement psycho structurel, la médecine occupe plus que jamais et ceci de manière axyomatique une place centrale.
C'est à dire, que face à la fébrilité psychique résultant à la surenchère de la panique organisée, le personnel hospitalier, et tous les acteurs de la santé deviennent nos referents incontournables, pour nous guerir, nous prévenir, nous soutenir, nous orienter, et Dieu sais-je quoi encore d'autre, pour éviter tous ces dangers qui nous guettent inlassablement et ménacent notre vie.
Franchement, si on ne le comprend pas; il ya là matière à apprehension, pour nos dirigeants que nous aimons par ailleurs tant!
Plusieurs chantiers cruciaux comme le handicap, les maladies cardio vasculaires, les soins palliatifs, les affections virales de toute sorte, la psychiatrie, ont besoin d'un personnel , plus disponible, plus serein, plus aptes à toutes les formes de soutien et d'accompagnement prophylaxiques.
Oui!Oui,si le sort de nos malades, Mesdames, Messieurs, vous laissent indifferents, de grace, ne vous détournez pas de votre propre cas,dont les reccurentes contradictions, dans un élan de solidarité, nous inquiètent au plus niveau, sur votre état global de santé.
Au lieu de traumatiser nos soignants, au risque que cela se retourne contre nous tous, aidez les à mieux, nous accompagner et nous soutenir dans nos douleurs quotidiennes .